Par guirlande - 23-03-2010 12:45:12 - 1 commentaire
Lundi 15 mars 2010
D’aucuns crieront au fou et sans doute auront-ils raison mais après les petites folies à la Gorgue la veille, j’ai quand même décidé de sortir.
Certes, je laisse les 16 km prévus avec des fractions de seuil pour une sortie de décrassage mais je bouclerai quand même 7.58 km en 45’ 132/141 en m’arrachant.
Je me sentais bien mais 53 km sur les deux jours précédents avec 12 bornes à fond ont quand même laissé des traces.
Enfin, je me sens quelque peu fatigué.
Mercredi 17 mars 2010
Les papates n’ont pas encore récupéré quand je me lance que la séance du jour prévoyant 12*300.
L’excuse serait toute trouvée pour zapper ce type de séance que je n’aime pas.
Je pensais avoir bien récupéré mais dès le départ je sens qu’il va falloir la mériter cette séance.
Au lieu de travailler sur plat en aller-retour, je travaillerai en linéaire. Certes les temps aux 300 ne sont pas mirobolants (1’13-1’23) mais je veille surtout à être bien relâché.
Attention au fait que j’ai cherché la fatigue et qu’il faut maintenant la gérer.
10,4 km 58’47 143/169
Jeudi 18 mars 2010
Rien de bien particulier à dire de cette séance si ce n’est que je continue à aller bien trop vite à allure 100. Mais comme les puls restent très bonnes.
8.6 km 58’05 122/136
Samedi 20 mars 2010
Enfin un samedi sans courir à fond. Au programme aujourd’hui sur le circuit de Basècles 7*8’ au seuil. Chaque fraction se fera vers les 158 puls et pile poil à 12km/h. Sauf erreur de ma part c’est mon allure la plus rapide à cette allure cardiaque.
La séance se passe bien. Mal aux jambes au départ mais ça s’estompe au fur et à mesure.
18.33 km 1h39’54 146/163
Dimanche 21 mars 2010
3 heures à allure 100 au programme aujourd’hui qui peuvent être réduits à 2h30 en cas de fatigue et en prévision du marathon de Villeneuve d’Ascq de dimanche prochain.
Un vent assez gênant aujourd’hui est présent mais rien de catastrophique.
L’allure est de pire en pire. J’essaie de me caler à 120-123 puls et ne parviens que rarement sur la première heure à descendre sous les 9 km/h. Heureusement que la minute d’arrêt fait un peu chuter cette moyenne sinon je vais bientôt rêver de victoire à Steenwerck ;o)))
Après un peu plus de 20 bornes, je me décide de rallonger un peu (à la rouge cense à Meslin pour ceux qui connaissent reprendre à gauche sur la route qui relie Ghislenghien à Mévergnies). J’avais toutefois zappé le fait que cette portion de route était bien plus longue que je ne le pensais et qu’en plus elle montait. Bah pas grave au final, je finis entamé certes mais vraiment moins que ce que je craignais.
25.5 km 2h55’25 122/138
Total de la semaine 70.4 km 7h17’11 et première semaine un peu plus dans le dur. Je ne me plains toutefois pas parce que je l’ai cherché et en plus pour l’instant c’est tout à fait géré et gérable. Moral par contre au beau fixe.
Par guirlande - 16-03-2010 11:38:20 - 1 commentaire
Lundi 8 mars 2010
Après le beau gros we qui a précédé, j’enquille la troisième séance de travail intensif.
Au programme, la séance zappée la semaine dernière à savoir 6*8’ au seuil.
Certes, je devrais me battre avec les jambons qui commencent à implorer grâce mais dans l’ensemble cela passe bien. Pas le choix, il faut passer par ces séances de surfatigue pour espérer survivre le plus longtemps possible à Steenwerck. Entre 1,45 et 1,65 km sur les fractions au gré des côtes n’est pas mal du tout. Je finis bien fatigué mais pas exténué.
16 km en 1h30 148/163
Mercredi 10 mars 2010
Normalement une heure à allure 100 aujourd’hui mais un dilemme se pose à moi.
Blicquy samedi est la dernière course à bloc avant quelques temps et avec la forme que je pense mienne, je tenterai bien d’y lâcher les chevaux.
De là, je me dis qu’il serait intéressant de caser une séance pas trop traumatisante de vitesse courte sous la forme de 300-200-100.
En fonction du kilométrage hebdomadaire, je devrais faire 5 séries. Je me dis toutefois que je dois veiller à ma fraîcheur et en ferai 4.
8,7 km en 48’50 140/169 et les sensations restent très bonnes.
Vendredi 12 mars 2010
Traditionnel avant-course qui va me permettre de jauger concrètement mon état de forme.
Toujours vers les 145 puls sur ces 5700 mètres, mon meilleur temps est de 30’19. 30’23 aujourd’hui… Miam miam…
Samedi 13 mars 2010
La Gallo-Romaine, une de mes courses préférées de l’année. Elle m’a souvent très bien réussi. Après les 3 premières courses bouclées de concert vers les 4’36/km, je me prends à rêver de descendre sous les 4’30. Le fond y est, la résistance aussi, je le sais mais la vitesse…
Pour la première fois depuis longtemps, très longtemps, je suis un peu stressé face à moi-même. Cela faisait très longtemps que je n’ai plus été en position de prester à mon meilleur niveau.
3 km d’échauffement me laissent un arrière goût neutre dans la bouche. Les sensations ne sont pas top mais pas mauvaises non plus.
Tactique assez simple aujourd’hui sur papier à savoir partir à fond MAIS essayer quand même de signer un bon résultat.
L’expérience aidant je me place fort devant et c’est parti.
Je me méfie du premier km en descente et garderai continuellement mon œil sur la montre pour ne pas m’emballer. 1e km 4’26…
Hummm mwouais ok très bon dans l’absolu mais non seulement je pensais qu’on allait plus vite mais en plus j’ai l’impression d’aller trop vite par rapport à mes capacités.
Je suis renforcé dans cette idée par la présence devant moi de Christian Jurquin et surtout de Virginie Dujardin qui, bien qu’elle m’ait lâché bien après le 2e km me collera près de 4’ dans la vue. Impressionnant mais n’allons pas trop vite.
Deuxième km en 4’26 également. Je suis dans les parages de Marc Jacobs et d’Yves SAdoine qui, bien que plus forts également, sont des balises bien plus rationnelles pour moi.
Le troisième km me faisait peur avec le vent et la légère montée. Il passera bien même très bien en 4’23. Si ce n’est que j’apprendrai à mes dépens ce qu’est le chasse patates.
J’étais en effet revenu à une dizaine de mètres du groupe Yves-Marc mais ne recollerai jamais pour finir à une vingtaine de secondes.
Deux sentiments à cet égard à savoir qu’au moment où ils sont partis dans le rue au Lait je n’aurais pas su reboucher mais l’idée quand même que quasi tout le temps seul (à une exception près) j’avais les cartouches pour en être.
Les km suivants ne me voient plus regarder la montre que pour confirmer l’impression de régularité 4’23-4’25-4’28.
Dans le 6 km, je prends le vent et suis suivi par quelqu’un à qui je ne prête pas attention.
Après un long moment, je jette quand même un œil et Bruno Musumeci, puisque c’est de lui qu’il s’agit, le comprend comme une invitation à passer. Je lui dis immédiatement que lui, peut rester dans la roue. Il n’est en effet pas le dernier à prendre sa part de boulot (voir mon récit de la Gallo-Romaine 2007) et je peux bien faire ça pour lui.
Au bout de la ligne droite, je coince et là lui fais signe de passer. Non seulement il le fera mais freinera de sorte à m’aider jusqu’au virage. Merci Bruno. Je sais qu’il a freiné car par après, malgré ses encouragements, je n’ai pu suivre le tempo.
Le temps d’avoir été aussi dépassé par une Pascale Delem étincelante en ce début de saison et nous prenons le chemin du retour.
Les km 7 et 8 me verront revenir sensiblement sur le duo Marc-Yves (qui seront en fait toujours un groupe de 4-5). 4’26-4’26 pour ces deux km.
La petite remontée du 9e est dure et je tente de la gérer au mieux 4’35 (km le plus lent) mais le duo en a profité pour se faire la malle une nouvelle fois.
10 e km avec le petit raidillon de l’Eglise passe bien en 4’31 et ensuite c’est tout schuss à l’attaque dans le but de revenir. Malgré le fait que je mette toutes mes forces dans la bagarre, ce sera cause perdue. 4’28 dans le 11e (avec une agréable surprise meslinoise sur le bas côté) et on attaque la côte où je me surprends à encore avoir des cartouches. 870 derniers mètres en 3’46.
Total 185/581 690 points 4’23/km au classement mais 4’27 à ma montre 168/177
Le dernière course de cet acabit dans mon chef date de l’Automnale 2008 à deux semaines de Millau. 3e moisson de points challenge ever…
Evidemment enchanté mais (interdiction de lancer des tomates) je ne m’estime toujours pas au top de ce que je peux faire… Très bizarre comme sensations. Il est un fait certain que, si je ne savais pas aller plus vite, j’avais encore des cartouches pour certainement faire 3-4 km de plus à cette allure là. De là à lorgner vers Velaines.
Un tout grand bravo pour finir à Marc, Nikolas, Marc, Yves, Pascal, Jean-Yves pour leur place, leur moyenne, leur retour…
Dimanche 14 mars 2010
2h45 allure 100 au programme aujourd’hui mais je ne raterai pour rien au monde l’exploit de Louis fine du côté de la Gorgue. Problème de timing réglé par mon inscription tardive à la course.
Je ne suis pas très rassuré sur le fait de pouvoir être utile à Louis après ma course de la veille mais bon on verra. J’espère quand même boucler 25 bornes.
Il m’annonce 10,5 km/h. OK ça devrait le faire sauf que sur les 17 premiers km on sera à 11 km/h. Conscient de ce qu’il pourrait avoir besoin de moi à d’autres moments, je mets pied à terre.
Je l’accompagnerai ensuite sur quelques portions de 3 km chacune.
Aux alentours de la 5e heure, je repars, également dans le but de refaire 3 km. Un calcul dans ma tête à ce moment là me fait penser qu’il reste 4 tours. Soit, soyons fous, restons.
Il nous bouclera 61,6 km (62,3 à la Garmin) pendant que de mon côté j’en bouclerai 36,61 en 3h31 (141/172). Evidemment mal aux pattes (surtout que le fou m’a poussé jusque 14,6 km/h à l’arrivée mais rien de dramatique.
Total de la semaine : 84 km en 7h43 et enfin je ressens de la fatigue (et encore pas extrême). Ceci dit, nuits quelque peu agitées me font penser à un surentraînement latent. Restons prudents mais le bilan reste extrêmement positif.
Par guirlande - 09-03-2010 10:25:01 - Aucun commentaire
Lundi 1e mars 2010
Travaillons sur de la fatigue qu’il disait. Me sens fiévreux depuis la veille (décidément ça arrive souvent) mais veux quand même sortir.
6*8’ au seuil avec 2’ de récup normalement.
Après une fraction je mets pied à terre car les jambes sont totalement vides. Alors que je devrais être entre 11,5 et 12 km/h je ne dépasse qu’avec grand peine les 11.
Dès lors 5’43 km en 31’20 pfffff.
Mardi 2 mars 2010
Pas de sortie prévue aujourd’hui mais je me sens mieux. Je décide dès lors de faire une sortie d’une heure avec un peu de rythme. Je n’y comprends rien mais c’est un billard aujourd’hui. Des sensations de feu. Alors que je devrais être en rythme à 10,4 km/h je suis en endurance cardiaque.
10.4 km 59’48 138/154
Mercredi 3 mars 2010
Au lieu de l’heure à allure 100, je voulais faire 6*300-200-100 puisque je manque de vitesse (ce qui est normal).
Je comprends encore moins mais je resterai transi de froid dans mon fauteuil grrrr.
Samedi 6 mars 2010
J’aurais pu faire ma petite sortie habituelle la veille mais m’en suis abstenu par mesure de prudence.
4.3 km d’échauffement me font craindre cette course. J’ai en effet l’estomac en vrac et crains que ça ne passe pas. Pourtant je n’ai pas mangé 3 kg de pâtes ½ heure avant ;o))))
Les puls par contre sont parfaites.
Nous sommes environ 630 au départ de ces 10.15 km du jogging de l’Ilm. Sa principale difficulté est la carrière vers le 5e km. C’est quand même une course d’apparence plus difficile que la semaine passée.
Mon meilleur temps 45’12. Difficile de comparer les points puisque cette course a été jusque 2008 surévaluée à 10.4 km.
Le vent va jouer un rôle aujourd’hui sur le deuxième tiers de la course.
Les trois premiers km assez rectilignes se passent bien. Je suis Yves Sadoine mais quand il accélère je ne sais y aller. Il me mettra 50 secondes.
4’32-4’30-4’20. Le troisième km est légèrement descendant et en plus je suis dans un groupe où je m’abrite en prévision de la suite. Il y a notamment Laurence Bartz, plus forte en théorie, et Bernard Caby, parti comme une balle.
Après le terrain de foot d’Obigies, je suis, une fois n’est pas coutume, très bien. C’est un endroit où d’habitude je coince. Saurais-je mieux gérer mes départs. Toujours est il que je fais signe à Bernard de s’abriter. Il le fera quelques centaines de mètres jusqu’au moment où Laurence bouche le trou sur un petit groupe et où je l’accompagne. Elle prend un peu le vent et puis je suis toujours bien et me décide à faire ma part de travail en prenant le relais. Malheureusement, à ce moment là personne ne saura me suivre. C’est dans ces moments là qu’on est content de s’entraîner seul face au vent… Jusque la carrière je ne ferai que remonter 4e km en 4’43 et carrière 5’12. Peu de gens m’y ont dépassé mais je reste inquiet car mon estomac n’est pas top. Les sensations semblent meilleures maintenant.
Les deux petites difficultés suivantes passent bien avec un 6e km en 4’49 et puis plongeon sur Kain avec pointes à 16 km/h pour un km en 4’09.
Je reste prudent car on a encore deux ponts à passer et le deuxième me scotche à chaque fois. On m’annonce une 208e place en bas du Mont.
7e km 4’30 et après avoir été dépassé notamment par Sebastien Devos je me retrouve 211e.
8e km 4’31 et le deuxième pont passe super bien, j’y reprends 4-5 personnes. J’accélère dans la descente en sachant que les 300 derniers mètres ne sont pas propices au sprint et me retrouve 203e. Je m’arrache à la sortie du sentier pour dépasser notamment Noël Bekers, que je félicite de son retour, pour finir 200e tout pile.
46’32 4’35/km 168/179 663 points
En sachant que la vitesse a été réduite à portion congrue, je ne peux que me montrer satisfait. Je vais toutefois paraître gourmand mais je reste convaincu que je ne suis pas encore au top (notamment avec le rhume de la semaine).
Bonne gestion de course, bonne résistance dans les 3 derniers km. Bilan très positif.
Dimanche 7 mars 2010
Au moins 2h 45 à allure 100 aujourd’hui. Je me retrouve avec un problème de luxe. Les puls étant extraordinairement basses, je cours trop vite. 6’48/km est bien trop vite pour une allure 100. Mais comme je termine avec 121 pulsations de moyenne (118-120 avant Millau) je reste là.
25,06 km en 2h50’17 et très bonnes sensations.
Bilan de la semaine : 55,3 km 5h32’35 et ce malgré les quelques jours moins bien
Par guirlande - 02-03-2010 10:56:03 - Aucun commentaire
Lundi 22 février 2010
Pffff quel temps de m….
Vent très fort et pluie au programme pour un entraînement que je continue à détester à savoir la VMA.
6*600 au programme aujourd’hui.
Pas trop mal dans l’ensemble. 2’35 vent de dos et 2’45 de face. Quand même content d’arriver après 9.5km en 54’ (144/172).
Mercredi 24 février 2010
1 heure à allure 100 au programme.
Je continue à essayer d’être à 7’/km arrêts compris mais je garde ma tendance à aller trop vite malgré des pulsations sous les 125.
Je me sens bien, je pousse un peu jusque 10,4 km faits en 1h12’08 124/135. Tout va bien.
Vendredi 26 février 2010
1 heure après avoir mangé (devions partir ensuite), je me lance dans mon habituel avant course. Le vent est très fort pour ces 5700 mètres que j’essaie toujours de faire à 145 pulsations environ. De mémoire mon meilleur temps est de 30’29. Ici ce sera 31’27 MAIS avec un premier km où les puls étaient proches de 160 et la vitesse à peine supérieure à 10 km/h. En cause, le très fort vent qui me clouait sur place.
Mon impression est quand même mitigée parce que le soir et le lendemain matin, je sentirai cette séance dans les jambes ce qui n’est pas vraiment normal.
Samedi 27 février 2010
4 km en échauffement dont deux avec Louis fine. Rien à signaler si ce n’est que je ne me sens pas des jambes de feu. Rien d’anormal dans l’absolu car les 3 courses challenge de ces trois semaines ne sont pas des objectifs en soi mais c’est quand même un peu frustrant.
Première challenge de l’année.
Bury, depuis le changement de parcours est une des courses où je souffre le plus.
Mon meilleur résultat sur ce parcours est de 47’ (654 points) et la course de Velaines il y a deux semaines me fait penser que je ne suis pas loin de mon meilleur niveau.
Quasi à chaque fois, j’ai dû me bagarrer à partir de la mi-course pour réaliser un résultat honnête.
Fort de cette expérience, je décide de partir plus calmement. Les premières centaines de mètres me verront dépasser les 14 km/h et immédiatement je lève le pied malgré l’impression de facilité.
Premier km 4’33 soit pas mauvais du tout. On tourne à droite et le vent très soutenu, mais à ce moment là de dos donnera l’impression d’avoir très chaud.
Je vois encore le Nain de Calenelle à ce moment mais je sais que je ne peux rivaliser et laisse partir.
2e km avec le pont 4’39 et toujours l’impression de ne pas être mal mais certitude de ne pas pouvoir aller beaucoup plus vite.
Les troisième et quatrième kilomètre seront respectivement le plus rapide et le plus lent en 4’27 et 4’41.
A partir de ce moment, je ne ferai que remonter les gens qui coinceront car je resterai pour ma part très régulier, gros motif de satisfaction.
Malheureusement, cette situation fera que je ne saurai jamais vraiment m’abriter du vent car aux moments où c’était possible, j’allais plus vite que les gens qui auraient pu m’abriter.
A la sortie du château, je coince un peu mais rien de comparable aux autres années.
Seuls les deux derniers kilomètres me paraitront comme à chaque fois interminables.
Les temps au km : 4’32, 4’36, 4’38, 4’33, 4’35, 4’39 et 2’04.
Au final 48’06 pour 10450 mètres soit 4’36/km 233/635 et au niveau cardiaque 169/180.
Je dois avouer que je m’attendais à un peu mieux. Après Velaines, je croyais être plus proche de mon meilleur niveau mais à y regarder de plus près, 644 points aujourd’hui pour un record à 654 sur ce parcours ne sont pas mauvais du tout.
J’aurais eu la confirmation de mes forces et mes faiblesses à savoir le fond et la résistance pour les forces et la vitesse pour la faiblesse. Ceci est tout à fait normal en fonction des objectifs donc je ne m’inquiète pas et ressors satisfait et rassuré de cette première challenge.
Je terminerai par 6-7’ de retour au calme notamment pour aller rechercher Tonton Olive qui a souffert mais ne s’est pas mal débrouillé.
Dimanche 28 février 2010
La tempête annoncée pour l’après-midi me fait sortir très tôt pour minimum 2h30’ d’entraînement voire 2h45’ si possible.
Si la tempête n’est pas encore là le vent souffle déjà fort et la deuxième partie de mon entraînement sera copieusement arrosée.
J’ai une pensée pour mon Ami Xavier et ce qu’il doit se farcir à la Magnétoise.
Je commence par 45’ en endurance histoire de fatiguer l’organisme et ensuite je suis parti pour mon allure 100. J’essaierai de retrouver le parcours de la marche Adeps mais me planterais royalement. Qu’à cela ne tienne, je ferais alors des belles arabesques autour de la maison ; on ne sait jamais avec le temps que cela devienne impossible.
Dans la dernière heure je serai bien frigorifié. Dans les deux derniers kilomètres, je me prendrais une fringale et finirai bien entamé. Départ à jeun et deux gels seront insuffisants pour ces 22,83 km bouclés en 2h36’09 (132/145). Je finis content mais inquiet de par le mal de gorge qui m’assaille et les sensations grippales qui sont les miennes. Cela se confirmera le lendemain mais ce sera l’objet du prochain billet.
Total de la semaine : 64 km et 6h33